Darkkkwolf

Dark and Light

Lundi 20 février 2012 à 18:58

Quand l'hiver vient


Quand l'hiver vient et que le temps est au chagrin

Que le feu s'éteint et le froid brûle nos mains

La main ferme aux rides sinueuses noires

S'empare de la vie et fait mourir l'espoir.


Nul n'est assez fort dans ses terribles serres

Nul n'est assez vivant pour devenir un père

Lorsque le vent souffle et que les nuits d'infini

S'enlisent dans un silence blanc et puni.


Quand l'hiver vient coule abondamment le sang

Un sang qui ne doit pas être de nos enfants

Protégeons nos terres, nos familles et nos vies

Au nom de l'amour et de la belle patrie.


L'été nous fait croire à un conte de fée

La vie s'étoffe des sourires enlevés

Tous oublient la terreur de l'obscur minuit

Tous sont aveugles face à la prochaine nuit.

Lundi 20 février 2012 à 18:48

Espoir


La porte s'ouvre vers un avenir doré

Le sentier s'engage vers ce bout de forêt

Celui qui devant mes yeux emplit de beauté

Un paysage autrefois obscur et damné.


La lumière dans les plus belles clairières

Fait de la pureté un bien beau somnifère

Pour les amants si fiers de vivre leurs mystères

Enfin heureux dans ce monde sans frontières.


Mon regard s'envole vers le haut des nuées

Où le sort du monde avait été décidé

Les ailes de l'ange rêvant une cité

Un lieu béni des dieux fils de l'éternité.

Samedi 18 février 2012 à 20:04

Quand la mort arrive


L'ombre terrible approche avec la mort

La folie de l'oubli ronge la triste vie

Malheurs et regrets hantent nos plus déchus torts

La perte des êtres qui nous sont chers gémit.


Quand le silence tonne de ses ailes d'or

L'âme vole par-dessus ses vaines envies

Dans l'Entremonde elle voit son défunt corps

Son très cher hôte durant le temps de sa vie.

Samedi 18 février 2012 à 20:00

Amour pour l'éternité


L'espoir partait voyager loin de mes pensées

En quête d'une femme à la haute beauté

Seul et sans attaches je me savais aimé

Par une femme que je voulais épouser.


Son absence était pour moi dure à porter

Âme sans nul coeur j'avançais à me damner

Souverain perdu d'un peuple d'éternité

Dont les pas s'embourbaient dans les ruines d'épée.


Un beau jour de mai cette femme est arrivée

Avec elle la joie de pouvoir l'embrasser

D'enfants nus rêvions fruits de notre union sacrée

Certaines blessures pouvaient être apaisées.


Notre amour si cher régnait sur l'éternité

La mort et le temps ne pouvaient nous séparer

Ô ma dame à tout jamais je t'aimerai

Et j'attendrais de te retrouver mon aimée.

Samedi 18 février 2012 à 19:51

Préquelle


Le vent du ciel dans sa robe rouge et blanche

Portait à mon coeur la hauteur de sa destinée

De sa beauté coulait le sang d'une manche

Cette femme que je voulais tant épouser.


Le coeur meurtri par tant d'années de triste vie

Ma maîtresse belle d'un amour éternel

Pluie d'étincelles qui fait naître en moi l'envie

D'être pour elle le plus beau des immortels.

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