Quand l'hiver vient
Quand l'hiver vient et que le temps est au chagrin
Que le feu s'éteint et le froid brûle nos mains
La main ferme aux rides sinueuses noires
S'empare de la vie et fait mourir l'espoir.
Nul n'est assez fort dans ses terribles serres
Nul n'est assez vivant pour devenir un père
Lorsque le vent souffle et que les nuits d'infini
S'enlisent dans un silence blanc et puni.
Quand l'hiver vient coule abondamment le sang
Un sang qui ne doit pas être de nos enfants
Protégeons nos terres, nos familles et nos vies
Au nom de l'amour et de la belle patrie.
L'été nous fait croire à un conte de fée
La vie s'étoffe des sourires enlevés
Tous oublient la terreur de l'obscur minuit
Tous sont aveugles face à la prochaine nuit.
Quand l'hiver vient et que le temps est au chagrin
Que le feu s'éteint et le froid brûle nos mains
La main ferme aux rides sinueuses noires
S'empare de la vie et fait mourir l'espoir.
Nul n'est assez fort dans ses terribles serres
Nul n'est assez vivant pour devenir un père
Lorsque le vent souffle et que les nuits d'infini
S'enlisent dans un silence blanc et puni.
Quand l'hiver vient coule abondamment le sang
Un sang qui ne doit pas être de nos enfants
Protégeons nos terres, nos familles et nos vies
Au nom de l'amour et de la belle patrie.
L'été nous fait croire à un conte de fée
La vie s'étoffe des sourires enlevés
Tous oublient la terreur de l'obscur minuit
Tous sont aveugles face à la prochaine nuit.